LES RUES DE CEYLAN
SRI LANKA | 2010
Les rues du SriLanka ne manquent pas de détails, entouré d’un Traffic d’homme, de femme, de Tuc Tuc, de voiture, de vélo, de marché ambulant, dans un mouvement perpétuelle. On trouve bon nombre d’épice, d’herbes parfumées au détour d’une rue ou au milieu du chemin de fer. Les affiches mortuaires et autres collées sur des plaques métalliques rouillées. Le temps s’inscrit sur les trottoirs de terre, la poussière jaune sur les chaussures. L’accueil souriant des Sri Lankais, les mouvements de tête inversés, difficile au départ quand on veut confirmer une direction ou une commande. Le Oui est le non, le non ; le oui. Il y aussi le oui non quand la tête fait un mouvement oscillant de va et vient. La couleur des végétaux est marquante, la chlorophylle intensifiée par la force écrasante de la lumière. Des yeux sombre et rongés par les épices vous observent, les sourires blancs, dorée, les tenues colorées, les signes bouddhistes. Le cobra dansant au milieu de la place et le bruit constant du ronronnement urbain. Une femme assise, habillée d’une soie rose brodée, mendie près du temple. Les ors majestueux des statues, les singes libres autour. Dans le voyage quelques scènes on était particulièrement forte, comme cette vieille dame de 115ans, souriante se tenant sur le devant de sa porte. J’aurais aimé passer du temps avec elle, mais le temps du voyage ne permet pas toujours d’ouvrir tant de livre. Il faut parfois se satisfaire d’une prise, en espérant qu’elle soit bonne, l’esprit fait le reste. Les veilles voitures font aussi partie du folklore, des tôles cabossés encore roulante, rongé par le temps, encore lui ; ornent les rues, comme les chiens errants. Parfois inquiétant quand ces derniers forment de petit gang. S’il fallait résumer la visite du Sri Lanka à était une vraie découverte, qui a fortement participer à ma « compréhension » de notre monde. Negombo, Kandy, Mirissa, Gale, Matara, Colombo.